I - Commerce et modialisation
Les échanges commerciaux se développent à très grande vitesse à l’échelle mondiale, ce phénomène est appelé « mondialisation ». Ce terme est utilisé surtout pour traiter de la croissance économique. Il se définit comme « l’interaction généralisée entre les différentes partie de l’humanité ». En économie on parle d’un élargissement du champ d’activité des agents économiques (entreprises, banques, bourses) du cadre national à la dimension internationale.
A) Une économie mondialisée
L’économie mondialisée désigne le processus d’intégration des marchés qui résulte de la libéralisation des échanges, de l’expansion de la concurrence et des retombées des technologies de l’information et de la communication.
1) La mondialisation décuple le commerce local et international
L’effet stimulant de la mondialisation sur l’activité économique est issu de l’extrême mobilité des biens et des personnes, des nouvelles technologies et de la mise en concurrence planétaire des marchés.
La question des mobilités, de la croissance exponentielle des flux et des réseaux de communication est au cœur du processus de mondialisation. Avec les progrès techniques en matière de transports et de technologies, le ratio distance-temps a considérablement baissé. Les mobilités sont plus fréquentes à l'échelle locale car le phénomène de périurbanisation a entraîné une augmentation des migrations entre le lieu de travail et le lieu de résidence.
Tous les déplacements sont ainsi accélérés grâce à l’ensemble des réseaux de déplacements qu’ils soient routiers, fluviaux, ferroviaires ou aériens.
Par ailleurs les nouvelles technologies de la communication connaissent grâce à l’expansion d’Internet, de la téléphonie mobile et l’accès à toutes formes de médias, un essor considérable. Ces formes de transmission de messages favorisent les échanges brefs et les conversations. Elles multiplient de manière incroyable la masse d’informations disponibles, les échanges matériels ou financiers.
La diminution des délais de communication et de transports a aussi une conséquence réelle sur le phénomène de mondialisation : c’est la concurrence à l’échelle planétaire. Les entreprises exerçant la même activité et offrant des produits ou services plus ou moins similaires sont des entreprises concurrentes. Dans la compétition concurrentielle, chaque entreprise cherche à satisfaire ses clients et à les fidéliser afin d’accroître sa part de marché et sa rentabilité. Pour gagner davantage de parts de marché, l’entreprise est appelée à servir au mieux ses clients et à perfectionner continuellement ses facteurs de production, ses méthodes et outils commerciaux.
La concurrence est également exacerbée par le libéralisme économique. Le libre-échange est un principe visant à favoriser le développement du commecrce international en supprimant les barrières douanièreset les réglementations nationales susceptibles de restreindre l'importation des biens et des services. Sa finalité étant en principe d'augmenter la richesse de chacune des nations qui y concourent. C’est l’organisation mondiale du commerce (OMC), qui est sensée réguler et organiser les échanges commerciaux.
L'Organisation mondiale du commerce créée en 1994, est une organisation internationale qui a en charge les règles régissant le commerce entre les pays. Ces règles se déclinent sous la forme d'accords. Ces accords, qui ont évolué et ont été définis au cours de négociations successives, s'articulent autour de cinq principes :
- la non-discrimination entre les partenaires commerciaux
- la diminution progressive des barrières commerciales
- les politiques transparentes de ses membres
- la promotion d'une concurrence ouverte et loyale entre les membres
- la flexibilité et l'adaptation des modalités d'application pour les pays en développement.
Bien évidemment les excès du libéralisme économique non régulé ont de graves conséquences sur l’équité commerciale entre les pays selon ses richesses, ses compétences et les différents couts de production.
Dans le secteur agro alimentaire la course à la rentabilité à tout prix et la concurrence entre les entreprises et pays producteurs génèrent de sérieux effets pervers notamment sur la qualité des produits de consommation et les effets sur l’environnement lors de leur fabrication.
2) La production intensive des biens et des produits
Dés lors que la mobilité et les nouvelles technologies ont créées des conditions qui sont susceptibles de stimuler le commerce (mais aussi de le fragiliser à cause d’une concurrence pas toujours loyale), la course à la production intensive est favorisée afin d’optimiser la production en vue de maintenir les marges et donc les bénéfices des entreprises.
L’agriculture et l’élevage sont des exemples édifiant de l’adaptation aux lois du marché de ce secteur. L'agriculture intensive est un système de production agricole « fondé sur l'optimisation de la production par rapport à la surface cultivée, qui requiert des investissements importants et une utilisation accrue d’intrants agricoles (énergie, engrais, matériel). »
Elle est en effet caractérisée par l'utilisation massive de produits et de matériels. Elle repose sur une mécanisation poussée et l'usage d'engrais chimiques, de pesticides, fongicides, herbicides…afin de maximiser la production.
Pour ce qui concerne l’élevage et donc la production de viande, on observe un mode de production industriel appliqué aux animaux basé sur la concentration des animaux dans des lieux clos. Dans ces lieux, on observe qu’il y a une pauvreté de l’habitat des animaux et qu’il y a une sélection des sexes et des espèces les plus productives fait par les éleveurs. La croissance accélérée pour améliorer la productivité, l’insémination perpétuelle des truies et vaches sont des activités produites pour assurer la continuité de ce système.
L’entreprise Mac do est en ce sens un « client » de l’agriculture intensive. Si McDonald’s a réussi à devenir un géant de la restauration rapide, c’est que l’entreprise s’appuie sur l’agriculture la plus importante du monde, celle des Etats-Unis, qui produit 40% de la production mondiale et exporte pour 20% des échanges mondiaux. Cette performance est due à 3 millions d’agriculteurs, soit seulement 1,8% de la population active du pays. Les Etats-Unis s’appuient sur l’agriculture de masse grâce à leurs énormes exploitations.
McDonald’s peut donc grâce à la puissance de l’agriculture américaine, se faire livrer ses matières premières de façon massive, en collaborant avec les entreprises agro-industrielles.
Cette méthode d’exploitation n’est pas sans conséquence sur l’environnement. Des dangers sur la ressource en eau apparaissent y compris dans certains pays développés ou ce type de production est d’une part extrêmement consommateur d’eau et d’autre part porte directement atteinte aux nappes phréatiques qui subissent les effets indirects des traitements agricoles nocifs pour la santé.
Par ailleurs dans certains pays, on détruit les forêts pour étendre les surfaces agricoles. La déforestation est responsable d'environ 20% des émissions mondiales de CO2. La préservation des forêts tropicales est donc prioritaire dans la lutte contre le changement climatique. Yann Arthus Bertrand dit notamment: « nous avons transformé la forêt en viande » au regard des besoins de l’agriculture pour nourrir les animaux destinés à la consommation humaine.
La viande est en effet surconsommée dans les pays les plus riches qui sont vulnérables aux mécanismes d’uniformisation des modes de consommation, tant sur le plan culturel que sur le plan alimentaire.
B) L’uniformisation culturelle
On parle le plus souvent d’une lente disparition des différences de modes de vie entre les pays pour désigner l’uniformité culturelle. Comme pour tous les éléments de la culture, (tenues vestimentaires, langages, coutumes …), ce phénomène est également vrai pour la nourriture.
1) Définition
L’uniformisation culturelle, c’est une atténuation des différences de modes de vie et de valeurs entre les pays ainsi qu’entre les populations, lors de la rencontre de ces deux cultures. Elle est perçue comme un processus d’expansion, voire d’impérialisme de l’occident sur le reste du monde qui peu à peu impose son modèle.
2) Les spécificités alimentaires des territoires
L'alimentation permet de satisfaire un besoin vital pour l'organisme. Cela lui apporte de l'énergie. L'être humain a développé, selon les cultures, différents coutumes et tabous alimentaires. Le repas est un moment où tout le monde peut se retrouver.
L’importance du repas varie selon les continents et même les régions du globe. Au départ exclusivement dédié à la survie de l’espèce humaine, l’alimentation depuis des millénaires est devenue l’occasion d’un moment spécial dans chaque culture qui a évolué en fonction des circonstances locales et de la nature de la nourriture disponible.
On observe les peuples de pêcheurs qui ont des rites et habitudes bien différentes des chasseurs ou des gens de la terre.
De même le moment du repas peut être un moment convivial que les romains prenaient en position allongée, tandis que d’autre se mettent à table ou au sol avec ou sans matériel (couteaux, fourchettes, baguettes….).
On ne consomme pas la même chose aux quatre coins du monde. Pourtant, s'il est une chose que l'humanité partage, c'est l'importance sociale du repas : échange et plaisir. On retrouve aussi sur toute la terre certaines croyances bien ancrées.*
On associe les Italiens aux pâtes, les Chinois au riz, les Allemands aux saucisses, les Français à la baguette de pain et au vin rouge. Les aliments et les boissons sont en fait des «marqueurs culturels».
Beaucoup de pays d’Asie mangent épicé comme en Inde, en Thaïlande, au Vietnam et en Corée. Les vietnamiens mangent beaucoup de produits de la mer épicés. En Afrique, beaucoup de pays mangent aussi épicé comme au Maroc, en Tunisie et en Libye.
Certains pays d’Amérique Latine aiment épicer leurs plats comme au Mexique et au Pérou. D’autres au contraire mangent leurs plats accompagnés de sauce mi sucré mi salée comme au Japon et en Chine .Le japon consomme essentiellement du riz .En Israël, les menus sont casher.
Si les clichés abondent en la matière, la réalité n'est pas si éloignée que cela, car manger est un moyen de communication et d'échange avec les autres, qui permet de se définir dans un groupe ou à l'extérieur, d'afficher une appartenance, du pique-nique aux repas de fêtes.
Mais la gastronomie est également touchée par une grande tendance à l’uniformisation des comportements humains.
3) La tendance à l’uniformisation
En tant qu'ensemble de connaissances et de pratiques, la gastronomie est peu à peu considérée comme une culture. À ce titre, elle constitue un patrimoine immatériel dont divers pays, le Mexique dès 2005, la France en 2008, ont demandé l'inscription sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. La gastronomie est objet d'études et de recherches scientifiques un peu partout dans le monde.
Nos modes de consommation influent de manière importante sur notre environnement. Consommer « responsable » ou consommé « pragmatique » va en effet favoriser soit une économie locale garante du maintien du développement et des liens sociaux d’un territoire, soit une économie mondialisée, propice aux excès et aux trafics, où l’intérêt humain est souvent ignoré. Face à la crise, les français par exemple se tournent vers une consommation pragmatique qui privilégie surtout le prix et la praticité quelle que soit l’origine du produit, une évolution que l’on retrouve même dans les couches les plus aisées de la société.
Il faut ajouter à cela l’omniprésence de la publicité et de l’incitation permanente au mimétisme social. L’«effet de mode» définit l'effet d'un comportement où les individus se conduisent comme « des moutons de panurge ». La pression sociale a pour but caché d'imposer des normes dominantes en matière d'attitude et de comportement.
Enfin les NTIC (nouvelles technologies de l’information et la communication) qui regroupent les inondations réalisées en matière de volume de stockage et de rapidité du traitement de l'information ainsi que son transport grâce au numérique et aux nouveaux moyens de télécommunication participent pleinement à la diffusion d’un culture uniforme qui s’impose aux autres. Leur impact s'étend sur de multiples domaines, notamment sur le mode de vie et l’économie. C’est un des éléments clés de la competitivité qui joue aussi un rôle accélérateur très important sur l’uniformisation des comportements. Partout dans le monde aujourd’hui les yeux sont rivés sur un Smartphone.
Sachant que l’uniformisation culturelle n’est pas un souci pour des entreprises préoccupées logiquement par leur profit, elles s’adaptent aux conséquences de la mondialisation et de la libre concurrence.
C) L’adaptation et les risques face à une concurrence mondiale
Les effets de la concurrence accentuée par la mondialisation obligent les entreprises à s’adapter en permanence aux fluctuations du marché. Il s’agit pour elles de lutter contre la réduction des marges avec des solutions de gestions réactives et modernes.
1) L’adaptation des entreprises
La concurrence fait baisser les prix et donc fait baisser les marges des entreprises, qui réagissent en conséquence. On parle de plus en plus de missions externalisées à l’entreprise. En clair faire faire à d’autres entreprises les activités les moins rentables ou qui nécessitent des compétences qui couteraient trop cher à mobiliser. Il s’agit là de faire des économies de gestion. De même le recours à la commande groupée se répand afin d’obtenir des produits ou des services à moindre couts.
Mais le sujet polémique le plus actuel est appelé « délocalisation ». Conséquence directe de la mondialisation, la délocalisation désigne le transfert d'activités, de capitaux et d'emplois d'une entreprise dans un autre lieu afin de bénéficier d'avantages compétitifs, c'est-à-dire de conditions économiques plus favorables : des bas salaires, un droit du travail plus souple, une monnaie faible, une fiscalité plus légère et le dynamisme économique.
La délocalisation a, en outre, été favorisée par la baisse des coûts de transport et la mondialisation des capitaux et des marchés qui imposent une baisse des tarifs douaniers.
Cette migration a lieu essentiellement du pays d'origine vers l'étranger, mais elle peut être aussi d'une zone urbaine vers une zone rurale, pour les mêmes motifs. Au sens strict, la délocalisation concerne toute l'activité et revient à séparer les lieux de production de ceux de consommation.
Ces agissements ne sont pas sans risque sur la qualité et les conditions de productions.
2) Les risques sur la qualité des productions
Plus la concurrence est sévère, plus les risques sécuritaire et sanitaire d’un produit sont susceptibles d’être élevés.
Par exemple la traçabilité agroalimentaire est très difficile à obtenir dés lors que les matières premières ont plusieurs origines de production, de fabrication et de transport.
Elle est ainsi définie : « La traçabilité agroalimentaire est l'application des principes de traçbilitéà la filière agroalimentaire, afin d'atteindre des objectifs de sécurité alimentaire. Elle vise à mieux qualifier les produits mis sur le marché, à une meilleure maîtrise des dangers et à abaisser les niveaux de risques. La traçabilité est en effet nécessaire pour remonter à la source d'un problème d'intoxication alimenatireou d'une fraude »
L’exemple de la viande de cheval retrouvée dans des plats préparés annoncée comme étant à base de bœuf peut laisser imaginer toutes formes de dérapages.
Il y a lieu de s’inquiéter également de la multiplicité des sous traitants qui sont des entreprises chargées par une autre entreprise de réaliser une partie de sa production. Ces contrats de sous-traitance sont aussi des risques supplémentaires d’une production défaillante qui est difficile à identifier en cas de problèmes.
Enfin l’adaptation des entreprises pour maintenir leurs marges peut entrainer de graves conséquences sur les conditions de travail des employés. Dans certains pays cela peut générer du travail clandestin, ou même de l’esclavage d’enfants toujours dans le but de diminuer les couts de production.
Les entreprises et les consommateurs sont coresponsables de ces conséquences néfastes en recherchant toujours pour les uns une meilleure rentabilité et pour les autres des prix plus bas.
3) l’entreprise à la fois victime et actrice de la concurrence sur le marché mondial
Les entreprises dans une économie libérale sont de fait en concurrence. Or les règles de droit notamment sur le travail, la sécurité sanitaire, le niveau de la monnaie locale, des salaires et de la fiscalité n’étant pas les mêmes dans tous les pays, cette concurrence mondiale peut être considérée comme faussée.
Malgré les règles de l’OMC, certains secteurs d’activité ont commencé à disparaitre dans les pays développés notamment ceux ayant recours à un gros besoin de main d’œuvre.
En ce sens certaines entreprises occidentales peuvent s’estimer victime des effets de la mondialisation puisque dans l’impossibilité de lutter à chances égales face à la concurrence des pays d’Asie entre autre.
Toutefois cette course effrénée à la croissance et au profit a amené de nombreux secteurs de production massive à faire appel à des produits et matières premières toujours moins chers. Ce qui accentue le phénomène de concurrence, contribue aux difficultés des entreprises, aggrave les conditions de travail de certains salariés, et perpétue une logique ou même le consommateur est perdant sur la qualité des produits en acceptant et souhaitant payer toujours moins cher.
Mac Donald en ce sens est un symbole de cette course. On peut en effet se poser des questions sur ce géant à propos de sa qualité alimentaire et des conditions de travail de ses salariés.
D) Mc Donald : un symbole de l’impérialisme économique
La progression de l’enseigne mac do depuis sa création est fulgurante. Précurseur dans le domaine du hamburger, la marque aujourd’hui commercialise toute forme d’aliments en restauration rapide. Les chiffres sont impressionnants mais ce développement ne va pas sans quelques polémiques sur la « mal bouffe » alors que le problème d’obésité dans les pays occidentaux ne cesse de se poser.
1) La première chaîne de restauration rapide du monde
Mac do c’est 27 milliards $ de chiffre d’affaires en 2011. Bien que loin derrière, Apple par exemple avec 156 milliards de CA en 2012 mais ce chiffre est énorme au vu de la quantité de repas vendus par l’enseigne partout ou elle est installée.
Mac do c’est également 2,5 millions d’employés dans le monde. Cela représente une somme d’individus supérieure à la population de certains pays. 118 pays parmi les 197 reconnus par l’ONU, ont des franchises installées sur leur territoire. Le réseau Macdonald's est présent sur 60% du monde.34.000 restaurants sont ouvert au public, ce qui en fait la chaine de restauration la première au monde.
1.400 restaurants supplémentaires ont ouvert en 2012, ce qui représente 4 ouvertures par jour. Cette croissance astronomique du nombre de franchisés participe au service de 13 milliards de frites par an.
On dénombre plus de 69 millions de clients chaque jour Ce qui représente l’équivalent de la population française, qui irait tous les jours chez Macdonald's.
Toujours dans les chiffres spectaculaires, 75 hamburgers sont vendus chaque seconde. Le temps de lire cette phrase, les Macdonald's du monde entier ont vendu 225 hamburgers.
C’est la quantité de viande vendue chaque année qui impressionne également : 453 millions de kilos de viande de bœuf chaque année seulement aux Etats Unis d’Amérique, soit à peu près 1,8 million de bœufs tués pour cuisiner des Big Mac, uniquement aux USA.
Tous ces chiffres témoignent de la vitalité du réseau de la marque qui par ailleurs est à l’origine de nombreuses polémiques en tout genre : de la qualité de la nourriture en passant par la gestion de ses salariés, mac do est très souvent au cœur de débats par toujours à son avantage.
2) les polémiques et Mc Donald
Les polémiques et mac do, c’est un peu une habitude. Certes la réussite commerciale peut susciter de la jalousie ou de la rancœur de la part de la concurrence et des partisans de la restauration traditionnelle, toutefois certains témoignages, reportages ou articles de presse sont édifiants sur les conditions de fabrication des plats, la gestion du personnel dans les franchises ou encore sur la politique de communication qui se voudrait vertueuse en participant à des actions humanitaires.
Quelques exemples ci-dessous témoignent de polémiques récentes :
McDonald's conseille à ses employés américains de ne pas manger de burgers
Par Ulla Majoube publié le 27/12/2013 à 15:30
Sur le site Intranet des employés de McDonald's aux Etats-Unis, les conseils nutritionnels sont clairs: le menu burger-frites-soda n'est pas bon pour la santé. Aujourd'hui, le site est fermé temporairement...
Viande avariée en Chine: McDonald's suspend la vente de nuggets à Hong Kong et au Japon
Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 25/07/2014 à 10:42, mis à jour à 11:05
Le scandale de viande avariée en Chine continue. McDonald's Japon stoppe depuis ce vendredi l'importation de tous les produits au poulet de Chine. McDo Hong Kong en a déjà suspendu la vente.
Comment sont vraiment fabriqués les nuggets de McDonald's
Par Ulla Majoube publié le 04/02/2014 à 17:33, mis à jour le 28/05/2014 à 17:38
Pâte rosée, amalgame de viande, restes de carcasses... Bien des mythes entourent la fabrication des nuggets. McDonald's Canada a décidé de montrer l'envers du décor. Ames sensibles s'abstenir !
Aux Etats-Unis, les employés de fast food se rebiffent
Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 04/12/2014 à 20:56, mis à jour le 05/12/2014 à 12:12
Dans 200 villes des Etats-Unis, les employés des chaînes de restauration rapide ont manifesté ce jeudi. Ils réclament une augmentation du salaire minimum et le droit de se syndiquer.
McDonald's dans le viseur du fisc français pour une évasion de 2,2 milliards d'euros
Par Emmanuel Paquette publié le 21/01/2014 à 17:07, mis à jour le 22/07/2014 à 19:30 Exclusif.
Bercy soupçonne McDonald's d'échapper, en partie, au fisc français grâce à ses filiales luxembourgeoise et genevoise, où atterrissent les commissions versées par les franchisés. Une perquisition a eu lieu au siège tricolore de l'enseigne.
Dent dans les frites, plastique dans les nuggets: McDonald's cumule les faux-pas
Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 07/01/2015 à 10:42
Mauvaise année pour McDonald's au Japon: plastique dans les nuggets, dent dans les frites, scandale alimentaire... La filiale nippone a décidé de réagir….
Comment sont vraiment fabriquées les frites de McDonald's
Par LEXPRESS.fr, publié le 22/01/2015 à 11:30,
Dans une série de vidéos YouTube, McDonald's dévoile la recette de ses frites aux Etats-Unis et s'attache à démontrer qu'elles sont réalisées à partir de vraies pommes de terre... ainsi que 18 autres ingrédients.
http://www.lexpress.fr/styles/saveurs/videos-comment-sont-vraiment-fabriquees-les-frites-de-mcdonald-s_1643404.html
Dans un contexte d’expansion permanente, mac do continue de se développer même si les polémiques sont nombreuses et que la croissance de l’enseigne connait des soubresauts. Le chiffre d’affaire pour 2014 est annoncé en légère baisse notamment aux Etats Unis.
La remise en question de la stratégie et des objectifs doit être permanente pour un bon développement. Ce développement est du essentiellement à la qualité de la stratégie de mac do. Sa force de vente et ses moyens de communication qui sont très performants.